Exploration psychophysiologique du sujet

Jean-Pierre Girard pendant l' expression du phénomène Psi

L' essentiel des études psychophysiologiques me concernant s'étant déroulées au sein de laboratoires publics français ou américains dans un cadre "discrétionnaire" ne peuvent pas ètre publiées dans cet article. Mais nous avons des conclusions intéressantes dans les observations suivantes que je vous soumets.

En préalable des éléments concrets d'étude, voici un extrait du courrier sur ce sujet que j'ai adressé à Jean-Pierre Petit (Astrophysicien.Auteur de publications en cosmologie du "Modèle Janus"cf. Vidéos Youtube) avant son invitation privée de quelques jours chez lui.

Jean-Pierre Petit (à G) propose des théories en cosmologie et en physique tout à fait révolutionnaires (projet Janus) qui ont fait l'objet de publications scientifiques à comité de lecture. C'est un privilège d'avoir été reçu dans son privé 48h.

la psychophysiologie du sujet est-elle « paranormale » ?

Est-ce que les effets psi constatés au cœur de la matière ou sur le vivant peuvent être expliqués par le fait que le sujet serait doté d’une psychophysiologie particulière. Cette hypothèse ne tient pas la route une seconde ! Les seules constations intéressantes qui ont été faites à l’E.E.G – pendant que le sujet manifeste un effet psi-, montrent des bouffées d’ondes α lentes (8/9HZ), ce qui est effectivement original, lesdites ondes n’apparaissant que dans les phases de sommeil paradoxal, les yeux fermés et dans des états modifiés de conscience (prière, méditation) shuntant le pariétal (distinction entre le soi et l’environnement). Or ici, nous avons un sujet parfaitement éveillé qui dialogue avec les observateurs!!!

Or là, répétons-le, le sujet est dans une attitude où « normalement » aucune onde de cet ordre devrait être notée. Même anomalie constatée concernant les tachycardies paroxystiques à L’E.C.G contemporaines des ondes α à l’E.EG. Tout ceci est totalement anachronique et fortement improbable pour un neurologue… (notamment travaux du prof. Jean Dierkens laboratoire de psychologie expérimentale. Université de Mons (Be).

La conclusion raisonnable est, que le sujet est dans un état mental paradoxal : état « méditatif » couplé à un état d’éveil. D’ailleurs cet état mental est caractéristique chez tous les sujets que j’ai rencontrés (sauf Boris Ermolaev à l' institut cinématographique de Moscou) … il y a toujours des exceptions pour confirmer une règle !). Ce sont les clés de cet état mental modifié de conscience particulier que je communique lors des stages que j’organise. En y ajoutant la visualisation de l’effet souhaité, déjà réalisé. Mais fort heureusement cet état modifié de conscience Psi (EMCP) a d' autres utilités dans la vie quotidienne que la seule télékinésie!!

Ces modifications EEG ou ECG sont intéressantes car elles nous signalent des anomalies qui ne sont constatées qu'au moment de l' expression du Psi. Pour les observateurs c' est bien là une preuve de la réalité du Psi. Mais est-ce à dire pour autant que ces anomalies psychophysiologiques nous autorisent à conclure que la psyché est capable d'effets physiques au coeur de la matière et/ou sur le vivant? Nous verrons dans le développement théorique sur l'origine du phénomène Psi que l'on s'écarte de schémas classiques de physique théorique pour expliquer pourquoi, par le truchement de la conscience on peut produire des effets qui classiquement nécessiteraient plusieurs tonnes d'application mécanique ou encore un bombardement atomique au neutrons pendant 24h (Communication en prime time sur TF1 par les physiciens Prof C. Crussard et J. Bouvaist sur changement de structure interne de barres d'alliage (AU2GN) insérées dans des tubes scellés. Confirmés par un pli cacheté à l'Académie des Sciences par le président lui-même). Ces phénomènes ne sont toujours pas reproductibles - sauf par le Psi ! -, par tous moyens dont dispose la Science au moment où j'écris ces lignes.

Exemple d'expérience de laboratoire : PK: Changement de structure interne d'alliages en labos

 

Psi et ECG atypique (CBS TV USA 1986)

Cet extrait vidéo d'un film diffusé à la télévision CBS (USA) produit par Neumann avec l'acteur américain Burt Lancaster commentateur. Pour la séquence concernant mes phénomènes psi, un cardiologue français est commis, le Dr Ostermann. Il note le tracé "anormal" de l'ECG (tachycardie paroxystique à + 160 BPM) à tel enseigne qu'il pouvait prévoir le phénomène quelques secondes avant que je produise ce dernier. Séquence de 3mn20 : PK JPG CBS Burt Lancaster. Dr Ostermann 1988

Anomalies du tracé E.E.G de JPG pendant la psychokinèse sur barreaux d'alliages.

Prof. Jean Dierkens. Directeur du laboratoire de Psychologie Expérimentale. Université de Mons (Be)

On le verra un protocole d'expérimentation extrêmement rigoureux est mis en place dans le laboratoire de Jean Dierkens. Aucune tricherie ne peut s'immiscer dans le déroulement des expériences ceci est confirmé par les experts illusionnistes consultés.

L'extrait vidéo est issu de l'émission polémique de Michel Polac "Droit de Réponse" le 14 mars 1987 sur TF1. Le prof. Jean Dierkens va pouvoir intervenir - avec difficulté - malgré le brouhaha habituel de l'émission. En quelques mots il va commenter pourquoi le tracé EEG observé avec moi pendant la psychokinèse n'est jamais observé en neurologie : l'apparition d'ondes alpha lentes de 10Hz chez un sujet qui a les yeux ouverts qui parle et qui a un rythme cardiaque à 65 pl/s. Lien vidéo : Droit de reponse 14 03 1987

Le professeur Jean Dierkens a publié dans ces travaux tout l'intérêt de ce tracé électroencéphalographique présentant une anomalie intéressante. Les bouffées d'ondes alpha lentes qui sont apparues lors des télékinésies produites par JPG sont incompatibles avec la neurophysiologie. En effet JPG avait les yeux ouverts, tenait un barreau d'une main et de l'autre faisait des passes au-dessus, de plus il parlait avec l'observateur. Jean Dierkens nous dit : " Si nous n'avons pas d'éléments pouvant être l'explication du phénomène physique lui-même sur la matière; nous avons ici une réflexion intéressante sur l'attitude psychique favorisant l'expression du phénomène.

Le protocole expérimental du prof Jean Dierkens n'a rien à envier à celui des laboratoires publics dans lesquels JPG a été étudié. De plus l'analyse EEG du sujet pendant la PK confirme les anomalies observées. Caméras, barres reliées à des jauges de contrainte, obervateurs proches du sujet. Aucune critique n'a pu être opposée par les experts illusionnistes consultés.

Notons que JPG est séparé de l'analyse EEG par une cage de Faraday

Quelques extraits des conclusions du prof Jean Dierkens. In la revue scientifique de référence française: "La Recherche"n°86 vol 9 page 190 : "... une accélération du pouls 110/130 BPM contemporaines de bouffées d'ondes alpha lentes de 9Hz est incompatible à nos connaissances en neurologie ... pour nous c'est une confirmation de la réalité du phénomène de PK et de l'état mental qui y est associé ..." . Idem : Parapsychologiy Foundation Inc. New York N Y . Mêmes conclusions lors de ses diférentes publications ou conférences.

Extrait vidéo de l'émission polémique "Droit de Réponse" TF1 mars 1987 : Émission polémiqueTF1mars1987.Le prof J. Dierkens explique les anomalies en neurologie(EEG et ECG)pendant les PK de Girard Il explique qu'on ne peut trouver d'exemples identiques en neurophysiologie.

Étude de l'électroencéphalogramme de J-P Girard lors d'une psychokinèse par le :

Dr Mario Beauregard chercheur en neurobiologie. Agrégé du département de psychologie de l'Université de Montréal. Dr en neurobiologie de l'université du Texas.

Mario accompagné de son épouse également chercheuse sont venus de Montréal avec un EEG mobile aux fins d'étudier ma fonction cérébrale pendant une psychokinèse. L'EEG a traduit une activité cérébrale très particulière pendant la PK

Deux observations sous EEG ont montré des différences entre la psychokinèse sur barres métalliques et les télékinésies de cônes amagnétique (Al) sous bocal de verre. Dans les deux cas le DR Mario Beauregard constate des différences neurophysiologiques non-conventionnelles pendant les phénomènes produits par JPG.